Togo: the Gnassingbe regime clamps down on opposition

a Togolese human rights activist sheds new light on how West Africa’s oldest autocracy uses modern surveillance techniques to further strengthen its control. A 2018 investigation by Citizen Lab, a cybersecurity research group based at the University of Toronto, uncovered the use of a spyware program known as Pegasus to attack the electronic devices of Togolese dissidents. Sold by the NSO Group, an Israeli company, to aid in the fight against terrorism and crime, it also enables authoritarian, poor human right record regimes to abuse its powers and oppress activists, journalists and other civil society leaders.

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Au Cameroun, la sale guerre derrière la «crise anglophone»

Amnesty International a enquêté sur les violations des droits humains commises par les forces de sécurité camerounaises et les groupes armés séparatistes dans les régions anglophones.

C’est une fracture jamais soignée, qui a dégénéré et donne aujourd’hui la fièvre à tout un pays. La «crise anglophone», ainsi qu’elle est désignée depuis octobre 2016, a entraîné le Cameroun dans un cycle de violences de plus en plus meurtrières. La brutale répression, par les autorités, des militants des régions anglophones a poussé la frange la plus radicale du mouvement à s’armer et à lancer des actions de représailles. La déclaration unilatérale d’indépendance de la «République fédérale d’Amabazonie», coup d’éclat symbolique des séparatistes, le 1er octobre, a en particulier déchaîné la fureur de l’Etat central. Amnesty International publie ce mardi un rapport détaillé sur la «tournure tragique» (c’est le titre de la publication) des événements, qui ont provoqué le déplacement de plus de 160 000 personnes, dont au moins 34 000 au Nigeria voisin.

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Originally published on Libération