De quel type de constitution les pays d’Afrique de l’Ouest ont-ils aujourd’hui besoin? WATHI publishes Mataki and WATHI5

Les changements et tentatives de changements constitutionnels récurrents en Afrique de l’Ouest témoignent de la difficulté à faire des choix institutionnels durables qui ne soient pas guidés par des intérêts de court terme des gouvernants.

La réflexion collective proposée par WATHI sur les constitutions en Afrique de l’Ouest et au-delà implique d’examiner les systèmes politiques actuels des différents pays, les modes d’organisation politique et sociale, mais également les valeurs et principes fondamentaux censés se refléter dans les choix institutionnels.

Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication de Mataki N°6, le document de synthèse des débats virtuels de WATHI ainsi que la version WATHI5 qui présente exclusivement les pistes d’action proposées. 

La version complète Mataki et les WATHI5 peuvent être également téléchargés sur ce lien: https://www.wathi.org/publications/


The recurring constitutional changes and attempted changes in West Africa testify to the difficulty in making institutional choices that are not guided by rulers’ short-term interests.

The collective reflection proposed by WATHI on constitutions in West Africa and beyond involves examining the different countries’ current political systems, methods of political and social organization, but also the fundamental values and principles meant to be reflected in institutional choices.

We are pleased to announce the publication of Mataki N°6, the summary of the WATHI debate as well as the short version WATHI5 focusing on recommendations. Please share in your networks. ​

You may download the substantive document Mataki and the WATHI5 here: https://www.wathi.org/publications/

Le retour des djihadistes de Daesch et le risque sécuritaire de l’adhésion du Maroc et de la Tunisie à la CEDEAO

La quatrième édition du Forum sur la paix et la sécurité tenu à Dakar (13-14 novembre 2017) a été l’occasion pour le président sénégalais Macky Sall d’évoquer publiquement une véritable hantise que nourrissaient depuis des mois nombre d’experts sur les questions de paix, de sécurité et de défense en Afrique de l’Ouest.

Il s’agit du retour inéluctable de djihadistes, africains ou non, sur le continent au fur et à mesure de la chute des bastions de Daesch (ou Etat islamique) en Syrie et en Irak. Le président Macky Sall a été on ne peut plus clair à cet égard en précisant que « le risque aujourd’hui et pour les années à venir, c’est d’avoir des terroristes vaincus ailleurs chercher des zones de repli en Afrique pour y poursuivre leurs activités criminelles en s’attaquant aussi bien aux populations locales qu’aux intérêts étrangers ».

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Article originally published on WATHI