Derniers articles: Afrique de l’ouest & Covid-19

Deux visions pour une Afrique de l’Ouest post-Covid-19

Thierry Hommel, directeur du forum prospectif de l’Afrique de l’Ouest, s’attarde sur la gestion sanitaire de la crise du Covid-19 dans les pays d’Afrique de l’Ouest.

Futuribles

L’expérience malienne dans la gestion de la pandémie du Covid-19

Alors que la pandémie s’était déjà largement répandue à travers le monde, y compris dans des pays voisins du Mali (Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire) qui affichaient des niveaux de propagation importants, celui-ci en est (officiellement) resté longtemps épargné ; une situation qui, loin d’être satisfaisante, laissait perplexe beaucoup de Maliens et d’observateurs : les services de santé maliens étaient-ils suffisamment équipés pour pouvoir détecter le Covid-19 chez les patients suspects ?

The Conversation

Voter au heurt de la COVID-19 en Afrique de l’Ouest : à qui profite la crise?

Kamina Diallo conclut que lutte contre l’instrumentalisation de la crise par les pouvoirs en place, mais aussi les oppositions est essentielle pour garantir le respect des droits et libertés de tous.

Wathi

Politics at the Heart of the Crisis in the Sahel

The international community has become seized with the spiraling crisis in the Sahel. In September 2019, UN Secretary- General Antonio Guterres warned that “we are losing ground in the face of violence.”1 There has been a rapid expansion of extremist attacks in Burkina Faso, Mali, and Niger,2 from 180 incidents in 2017 to approximately 800 violent events in the first 10 months of 2019.3 There has also been a sharp increase in displaced persons. In Burkina Faso, for example, the United Nations reports that 486,000 people have been displaced in 2019, compared to just 80,000 in all of 2018. The deteriorating situation in the Sahel and its implications for regional security, migration, criminality, and corruption have spurred foreign partners—including the United States, European capitals, Gulf states, and some West African governments—to throw soldiers, diplomats, and development experts at the problem.

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