En critiquant sur le sol africain, qui plus est devant les parlementaires d’un pays voisin (la Tunisie), l’intervention de l’OTAN en Libye en 2011, le président français, Emmanuel Macron, a accompli, jeudi 1er février, un geste diplomatique fort. Mais pourra-t-il vraiment échapper à ce qui ressemble à une forme de fatalité pour la France en Afrique : l’unilatéralisme, même contre son gré ?
Article originally published on Le Monde.