Malgré les doutes qui persistent sur l’intégrité du territoire, les Maliens n’auront pas le choix, ils vont devoir élire un des candidats à la présidence de la République. Ce qui n’était pas forcément la seule perspective, il y a deux mois. En effet, des personnalités politiques maliennes, adversaires du chef de l’État actuel, des intellectuels proposaient par médias interposés le report du scrutin présidentiel.
Parmi ce lot d’acteurs, certains voulaient passer par d’autres modalités d’élections au regard de la situation sécuritaire qui prévaut dans le nord et le centre du pays pour l’essentiel. Le vote par l’Assemblée nationale d’un leader a été notamment évoqué. Mais finalement, rien n’empêchera les Maliens de voter le 29 juillet pour le premier tour du scrutin présidentiel.
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