Mali’s Climate Security Trap – How Drought and Heavy Rains Impact Violence and Migration

Mali has been experiencing a series of recurring climate impacts that have severely impacted the country’s agricultural sector – no less than the blood vein of Mali’s economy and the livelihood of its mostly rural population. Scarcer resources have spiked a series of violent conflicts and strengthened armed rebel groups, leading to mass displacements and regional instability. In this video, experts look into how climate change influences Mali’s down spiralling security situation and suggest an approach directed towards conflict prevention and natural resource management.

Watch video: https://www.youtube.com/watch?v=baTV65soXnY

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Le Burkina Faso, hôte et sujet d’inquiétude du sommet du G5 Sahel

Le Burkina Faso a pris officiellement la présidence du G5 Sahel, mardi 5 février, à Ouagadougou, capitale trois fois meurtrie par des attentats en trois ans.

« Nous devons redoubler d’efforts pour accélérer la montée en puissance de la force conjointe », a martelé le président burkinabé Roch Marc Christian Kaboré, lors du cinquième sommet des chefs d’Etat de cette alliance militaire anti-terroriste qui regroupe la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad.

Les enjeux de la présidence burkinabée sont de taille. Deux ans après son lancement, la Force conjointe du G5 Sahel peine toujours à se mettre en place et les groupes terroristes gagnent du terrain dans certaines zones. « Nous devrons donner une nouvelle impulsion à la force », promet Gilbert Zongo, le coordonnateur national des actions du G5 Sahel au Burkina.

Il s’agit notamment de rebondir après la destruction du quartier général de la Force conjointe, frappé par un attentat-suicide le 29 juin 2018 à Sévaré, au Mali, suspendant de facto les opérations. Depuis le 15 janvier, celles-ci ont repris : trois ont été menées sur les fuseaux centre, ouest et est. « Et elles vont se poursuivre, affirme le nouveau commandant de la Force conjointe, le Mauritanien Hanana Ould Sidi. Nous sommes en train d’étudier les moyens les mieux adaptés, les plus pertinents, pour une coopération plus forte entre les forces armées et de sécurité nationales et la Force conjointe. »

Manque de financements

Mais sur le terrain, les soldats manquent toujours d’équipements de protection et de véhicules blindés. « De fortes lacunes en matière de formation et de capacités, l’absence de bases opérationnelles sûres et fortifiées et le manque de fonds persistent et ralentissent le déploiement et l’équipement des contingents », a pointé le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, dans un rapport remis au Conseil de sécurité le 12 novembre 2018.

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